Les assurances obligatoires en construction
Cyrille Delaye • 5 octobre 2021

Les assurances obligatoires dans le domaine de la construction

La Responsabilité Civile Décennale et la Dommage Ouvrage, des assurances prévues par la loi

Quand on parle d’assurance construction, on ne peut que penser à la loi Spinetta n° 78-12 du 4 janvier 1978. Cette dernière instaure notamment une présomption de responsabilité pesant sur tout constructeur envers le maître ou l’acquéreur de l’ouvrage pour des dommages qui compromettent la solidité de l’ouvrage ou qui, l’affectant dans un de ses éléments constitutifs ou l’un de ses éléments d’équipement, le rendent impropre à sa destination (article 1792 du code civil). Cette responsabilité s’étend également aux dommages qui affectent la solidité des éléments d’équipement d’un bâtiment, lorsque ceux-ci font indissociablement corps avec les ouvrages de viabilité, de fondation, d’ossature, de clos ou de couvert (article 1792-2 du code civil). Cette responsabilité cesse au bout d’une durée de dix ans à compter de la réception des travaux (article 2270 du code civil).

 

Par conséquent, aujourd’hui, les assurances relatives aux dommages de nature décennale sont obligatoires en matière de travaux de construction (que ce soit pour des travaux sur des ouvrages neufs ou en rénovation), à l’exception de ceux réalisés sur des ouvrages exclus par l’article L. 243-1-1 du code des assurances.

 

Avant la promulgation de la loi Spinetta, l’assurance des risques et responsabilités dans le domaine de la construction découlait du droit commun et était très majoritairement facultative. Seuls les architectes étaient soumis à une obligation d’assurance de leur responsabilité civile professionnelle. La loi Spinetta impose donc un système bienvenu qui permet d’enfin encadrer ces obligations en termes d’assurance de responsabilité et de choses dans le domaine de la construction.

 

Les deux obligations d’assurance essentielles découlant de cette loi sont celle de l’assurance décennale (article L241-1 du code des assurances) et de l’assurance dommages ouvrage (article L242-1 du code des assurances). Avec cette double obligation, le constructeur doit s’assurer en responsabilité Civile Décennale et le maitre d’ouvrage en assurance dommage ouvrage. Cette dernière doit être souscrite par le maître d’ouvrage. Elle permet de préfinancer la réparation d’un dommage avant que les responsabilités des différents intervenants soient établies, cela permet ainsi une indemnisation rapide. L’assureur exercera ensuite un recours contre le(s) responsable(s) du dommage subi par l’ouvrage. C’est l’assureur de la responsabilité de l’intervenant responsable qui assumera la charge définitive du sinistre.

 

Toute obligation entraine des sanctions en cas de non-respect de cette dernière. Aussi l’article L243-3 du code des assurances prévoit que toute personne contrevenant aux obligations énoncées dans le paragraphe précédent sera punie d’un emprisonnement de six mois et d’une amende de 75000€ (ou de l’une de ces deux peines seulement). Toutefois, le même article précise que bien qu’ils soient tout de même soumis à l’obligation d’assurance, la personne physique construisant un logement pour l'occuper elle-même ou le faire occuper par son conjoint, ses ascendants, ses descendants ou ceux de son conjoint ne sera pas sanctionnée en cas de non-assurance. Néanmoins, si cette dernière ne sera pas sanctionnée par la loi, elle s’exposera aux conséquences de sa responsabilité civile si cette dernière est engagée.

 


À qui s’applique l’obligation d’assurance Responsabilité Civile Décennale, et qui en est exonéré ?

En principe, tout constructeur d’un ouvrage neuf ou existant est présumé responsable, à l’égard du maître d’ouvrage et des acquéreurs successifs des biens, des dommages qui peuvent survenir sur l’ouvrage pendant 10 ans.

 

Il y a toutefois des exceptions à l’obligation d’assurance imposée par la loi. Parmi celles-ci figurent l’État (lorsqu’il construit pour son compte) ainsi que d’autres personnes morales de droit public et certaines personnes morales de droit privé (uniquement concernant l’obligation d’assurance de dommages et lorsqu’elles font réaliser pour leur compte des travaux de bâtiment pour un usage autre que l’habitation, article L242-1 du code des assurances) Si l’usage n’est que partiellement d’habitation, l’assurance de dommages doit être souscrite.
 


Comment le contrôle de la souscription à l’assurance obligatoire est-il effectué ?

L’article L. 243-2 du code des assurance prévoit que toutes les personnes soumises à l’obligation d’assurance doivent justifier qu’elles ont satisfait aux dites obligations. L’article R243-2 complète cette obligation en précisant que les justificatifs de souscription à l’assurance doivent être apportés lors de la déclaration de l’ouverture du chantier. 

 

Pour les constructions individuelles isolées, la loi précise que les contrats de construction doivent comporter la référence de l’assurance de dommages souscrite par le maître de l’ouvrage. Elle prévoit également que le contrat avec une fourniture de plans peut être conclu sous la condition suspensive d’obtention d’une assurance de dommages.

 


Obligation de s’assurer pour les constructeurs mais également obligation d'assurer pour les assureurs.

En contrepartie des obligations d’assurance évoquées ci-dessous, et comme c’est le cas pour l’assurance automobile obligatoire, la loi impose aux assureurs d’assurer les constructeurs soumis à l’obligation d’assurance. L’assureur ne peut pas refuser d’assurer le risque, même si ce dernier ne rentre pas dans ses critères d’acceptation habituels (sauf en cas de défaut d’aléa ou si ses statuts interdisent la prise en charge du risque en raison de sa nature). Il ne peut pas refuser d’assurer le risque dans le cas où la demande d’assurance est postérieure à la déclaration d’ouverture de chantier (le fait que les travaux aient commencé ne rendant pas impossible la survenance de l’aléa, si ce dernier subsiste, l’assurance doit pouvoir avoir lieu).

 

Si toutefois le demandeur devait subir des refus d’assurance (ou absence de réponse) de la part des assurances, ce dernier ne pouvant alors pas remplir son obligation, il est en droit de s’adresser au Bureau Central de Tarification. La procédure est gratuite pour le demandeur d’assurance qui doit respecter les procédures de saisine afin que sa demande soit prise en compte. Une fois fait, le Bureau Central de Tarification fixe la prime moyennant laquelle l’entreprise d’assurance désignée par l’assujetti est tenue de garantir le risque qui lui a été proposé.

Un bus miniature sur une plage de sable
28 juin 2025
En période de départs en vacances, il est préférable d’adopter les bons réflexes. A propos de l'utilisation de votre véhicule : Vous allez être nombreux à emprunter les grands axes routiers et littoraux. En cas de souci nécessitant un remorquage (panne, accident, erreur de carburant…) le réflexe à avoir est de se placer en sécurité et de contacter votre assistance. Son numéro est indiqué sur votre MEMO assurance ou sur notre site : https://www.gepca.fr/sinistre-assurance Si vous vous trouvez sur une voie rapide, type autoroute, il convient de contacter les forces de l’ordre ou l’assistance autoroute par les bornes oranges, à votre disposition au bord des routes tous les 2 km. Votre assistance n’étant pas habilitée à intervenir sur ces axes. Vous pouvez également nous contacter en cas de difficulté rencontrée avec les services d’assistance. Nous sommes joignables toute la période estivale, hors jours fériés, sur nos horaires d’ouvertures : 9h-12h30 / 14h-18h. A propos de votre domicile : Avec l'été, nombreux sont les domiciles laissés sans surveillance. Vous avez à votre service des mesures mises en place par les forces de l’ordre appelées : « Opération Tranquillité Vacances » (OTV). Les modalités afin de profiter de ce service sont inscrites par le gouvernement dans le lien ci-dessous : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15031 En complément de ce service, il est recommandé de ne pas exposer ses dates de séjour sur les réseaux sociaux, demander à une/ des personne(s) de confiance d’effectuer des passages à votre domicile (relevage du courrier, arrosage plantes, mouvement des volets…). Vous pouvez également, avant votre départ, renvoyer les appels de votre fixe sur votre portable, bien vérifier la fermeture des accès à votre logement (serrures, portes, fenêtres..), placer en lieu sûr vos objets de valeur après les avoir photographiés. Sur votre lieu de villégiature, les mêmes conseils s’appliquent : - Ne rien laisser dans les véhicules, - Verrouiller les accès non surveillés. A propos des fortes chaleurs attendues : Il est important de se protéger contre les fortes chaleurs déjà bien installées, certaines habitudes peuvent être prises : - Rester au frais, humidifier votre corps, garder le frais du mieux possible dans votre logement (fermeture des volets et fenêtres la journée…) - Boire de l’eau en bonne quantité, éviter les boissons type : alcool, soda, café et thé ; Consommer principalement des aliments riches en eau. - Appeler le 15 en cas de malaise. Il est possible d’inscrire les personnes âgées/ fragiles à la chaleur sur des listes communales, pour que des personnes prennent régulièrement contact avec la personne concernée. Cette prise de contact permet de s’assurer que celle-ci ne souffre pas de déshydratation et qu’elle applique les mesures possibles pour limiter l’impact de la chaleur extérieure. Lien information lutte contre la chaleur : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14978
Un homme marchant avec son vélo à côté de lui
par Charline Cure-Martin 20 juin 2025
La période estivale approche à grands pas. Avec elle, les beaux jours et le temps libre, nous permettant de nous adonner à nos loisirs ou à des modes de déplacements dits doux. Toutefois, ces modes de déplacements ne sont pas sans risques et nécessitent quelques mesures de protection. Tout d’abord, nous rappelons que le port du casque, obligatoire jusqu’à 12 ans, est tout de même fortement conseillé pour les usagers plus âgés, qui plus est, en agglomération où les risques sont multiples. Concernant les équipements, le gilet réfléchissant est obligatoire la nuit et lorsque la visibilité est mauvaise. Le port de gants et de protège poignets est également particulièrement recommandé. L’engin doit pour sa part, être équipé de feux de position, d’un système de freinage efficace, d’un avertissement sonore et de dispositifs réfléchissants. Pour tous les véhicules qu'on considère comme "modes doux" : trottinette, gyropode, monoroue, vélo … des règles existent également : - L’usager doit être âgé d’au moins 14 ans, et avec une vitesse maximum atteignable par l'engin de 25 km/h. - L’interdiction de porter des dispositifs audio (autres que médicaux), afin de ne pas être distrait lors de la circulation, - Un vélo, qu'il soit a assistance électrique ou classique, doit circuler à droite sur la chaussée dans le sens de la circulation, ou les pistes cyclables si celles-ci sont existantes. Il est toutefois possible de circuler dans les zones piétonnes à vitesse modérée, 6 km/h (sur les trottoirs, à condition d’être à pied ou pour les enfants de moins de 8 ans sur des vélos de petite taille). Une petite distinction est à faire pour les vélos électriques, si la puissance du moteur est supérieure à 250W ou la vitesse maximum avec assistance est au moins équivalente à 45 km/h. Le vélo est alors considéré comme un cyclomoteur et doit être immatriculé. Dès lors que l'un de ces engins, immatriculé ou non, est considéré comme un véhicule terrestre à moteur, alors il est soumis à l'assurance Responsabilité Civile obligatoire, même lorsqu'ils ont été pris en location. Néanmoins, même si l'assurance n'est pas obligatoire pour les engins qui ne sont pas des véhicules terrestres à moteur, l'assurance reste fortement conseillée. Cette dernière comporte un volet Responsabilité Civile mais peut aussi comporter un volet dommages et une couverture corporelle pour le conducteur à certaines conditions. Il est donc essentiel que vous soyez conseillés correctement quant aux couvertures à prévoir pour vous lors de l'utilisation de vos véhicules/modes doux. Afin que la bonne couverture puisse être trouvée, tant pour les dommages que vous causeriez à des tiers, que pour vos propres dommages physiques. Se responsabiliser et se protéger dans son usage des modes doux, c’est essentiel. Mais, l’été, nous nous adonnons à plus d’activités personnelles de loisirs, êtes-vous bien couverts en cas d’accident ? C’est le principe du contrat GARANTIE ACCIDENTS DE LA VIE, dit GAV. Il sert à garantir un capital complémentaire à ce que pourrait verser la sécurité sociale et d'autres contrats d'assurance (prévoyance pour les revenus, santé pour les frais médicaux). L'indemnité peut, suite à un accident de la vie porter sur l'adaptation du lieu de vie (une rampe par exemple), du véhicule, l'indemnisation d'un préjudice esthétique... La pratique de certains sports à risques étant même assurable en souscrivant une option spécifique. Pour toute demande de devis que ce soit pour une garantie accidents de la vie ou une assurance vélo, trottinette... n'hésitez pas à nous contacter !
Un ensemble de courbes de données
par Bleuwenn SAVARY 18 décembre 2024
- Évènements climatiques (tempêtes, sècheresse, inondations…) - Évolution du régime des catastrophes naturelles : la cotisation est majorée de 12 à 20% pour les contrats d’assurances de dommages. - Évènements sociaux (émeutes et vandalisme) Plus précisément par type de contrat, et en complément de ce qui est énoncé ci-dessus, des leviers d’augmentation sont également à noter. Automobiles La forte progression du nombre de véhicules électriques ou hybrides en France impacte fortement le cout de la réparation. Les véhicules sont plus chers, les types de conception intégrés engendrent des remplacements de pack complets au lieu de simples pièces détachées et des prix de main d’œuvre plus importants compte tenu de la formation du personnel. L’association Sécurité et Réparation Automobile (SRA) a par exemple noté une hausse de 26,2% du cout des réparations entre 2019 et 2023. Pour les véhicules hybrides et électriques on note également la suppression de l’exonération de la taxe d’assurance sur les véhicules électriques. La taxe spéciale sur les conventions d’assurance (TSCA) pour les véhicules électriques, représente entre 12 et 25 % du coût d’un contrat (selon le véhicule). Locaux professionnels et habitations Outre les facteurs généraux évoqués au paragraphe 1 ci-dessus, L’année 2024 exceptionnellement pluvieuse a engendré de nombreuses inondations et une augmentation de 20% des sinistres dégâts des eaux. Maladie et prévoyance Nous constatons des hausses tarifaires hélas prévisibles du fait du vieillissement de la population et la dégradation générale de l’état de santé, mais surtout d’une forte dynamique des dépenses nationales de santé, des revalorisations des honoraires médicaux (dont ceux des médecins généralistes à 30€), et des décisions des pouvoirs publics qui renforcent les charges et le rôle des complémentaire santé dans l’accès aux soins (hausse du ticket modérateur pour les soins dentaires notamment). Risques professionnels Des hausses modérées sont constatées sur les contrats non sinistrés et avec une bonne prévention sécuritaire. Les principaux facteurs de dérives observés en 2024 sont : - L’augmentation des coûts moyens de sinistres tirée par un niveau des prix des matériaux toujours 30 à 40% plus haut qu’en 2019 - Le poids croissant des sinistres graves en Immeuble, Multirisque Professionnelle et Agricole - La hausse du coût de la réassurance mondiale sur les événements naturels et les émeutes ou la baisse des capacités / garanties proposées par les réassureurs sur ces risques.
Un légo en pièces détachées
par Bleuwenn SAVARY 30 juillet 2024
Pourquoi souscrire à une garantie accidents de la vie ?
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La vignette apposée sur votre pare-brise va disparaître sur décision gouvernementale.
Un ordinateur portable avec un symbole attention dessus
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INFORMATION IMPORTANTE
Une personne tenant un téléphone avec des courbes affichées dessus
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Un peu d'histoire et d'économie L'assurance est née il y a plusieurs siècles du besoin de mutualiser les risques. L'entraide des familles ou des clans devenant insuffisante pour se protéger des aléas. Depuis, nous observons un développement de plus en plus rapide et mondialisé des stocks et des flux, une hausse de la population et sa concentration en zones urbaines avec des conséquences sur le climat et les ressources de notre planète, ce qui engendre au fur et à mesure une augmentation exponentielle des risques en nombre et en intensité. L'impact est mondial, et l'assurance a du elle-même se mutualiser pour obtenir une surface financière suffisante quant à la couverture et à la répartition de ces risques. Ainsi c'est les assureurs qui à leur tour, se réassurent. Tout comme chacun d'entre nous, ils payent des couvertures et le prix de cette réassurance évolue avec la situation mondiale de l'économie et des catastrophes naturelles ou technologiques auxquelles il faut faire face. Si l'inflation, les évènements sociaux comme les émeutes/vandalisme et les évènements climatiques impactent globalement toutes les branches assurantielles, certaines catégories subissent également des hausses dont les raisons sont plus ciblées. Des facteurs d'augmentations par produits d'assurance Automobile Concernant le secteur automobile, la forte progression du nombre de véhicules hybrides/électriques en France impacte fortemment le coût des réparations. C'est également le cas des pièces technologiques ADAS (aide assistance à la conduite), capteurs, caméras, optiques de phares LED qui engendrent lors des remplacements des coûts supplémentaires de 1000 à 2000€ sur les véhicules de grande diffusion, pares brises avec inserts caméras... Le prix de la main d'oeuvre est également plus important compte tenu du coût de formation et du matériel technologique nécessaire à la réparation. Maladie et prévoyance Dans le cadre des branches maladie/prévoyances, les hausses s'expliquent cette année du fait de plusieurs facteurs. Outre les augmentations habituelles liées à l'âge des assurés et à l'évolution du plafond de la sécurité sociale, les compagnies et mutuelles doivent supporter cette année les répercutions de l'augmentation du prix des consultations, mais également celles de la majoration des honoraires des paramédicaux (infirmiers, kinés...) et les conséquences du désengagement partiel de la sécurité sociale sur les remboursements des soins dentaires (les complémentaires santé doivent donc intervenir de manière plus importante en termes de prise en charge financière). Risques professionnels Les impacts annuels sur les tarifs sont variables selon les secteurs. Chaque domaine peut faire face à des difficultés ou évolutions technologiques génératrices de risques. Locaux et habitation Voici ci-dessous les variations 2023 des trois premiers trimestres de l'indice de la fédération française du bâtiment. Cet indices revalorise également les garanties et les primes de ces contrats. Trimestre 1 : 1160.8 Trimestre 2 : 1163.6 Trimestre 3 : 1153.7 Au quatrième trimestre 2022, l'indice FFB était de 1137. D'autres indices doivent également être pris en compte en fonction du type de contrat, c'est le cas de l'indice RI ou encore du BT01.
Une femme écrivant un document sur un ordinateur
par Bleuwenn SAVARY 13 décembre 2022
Déclarations dans vos contrats d'assurance : L'importance de l'adéquation entre vos déclarations et les évolutions de votre entreprise.
Le thermostat d'un radiateur
par Bleuwenn SAVARY 13 décembre 2022
Coupures d’électricité organisées : la question de l'assurance
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Indice FFB, indice RI, indice BT 01… Quelles sont les conséquences des indices sur vos cotisations d'assurance ? Comment évoluent ces indices ? GEPCA vous répond.